Dans un contexte où la méfiance est croissante, la manière dont les entreprises collectent et utilisent les données clients devient un marqueur fort de leur positionnement éthique. Et si, plutôt que de traquer les comportements, on demandait tout simplement au client ce qu’il pense, ce qu’il ressent, ce qu’il attend ? C’est toute la promesse de la zero-party data.

La donnée propriétaire à l’ère de la méfiance

Les scandales autour de la vie privée ont profondément transformé le rapport des individus à leurs données. Selon une étude Cisco (2024), 84 % des consommateurs déclarent se soucier de la protection de leurs informations personnelles, et près d’un tiers (32 %) ont déjà quitté une marque en raison d’un usage jugé abusif de leurs données.

Face à ces chiffres, les marques revoient leurs pratiques. Fini les cookies tiers et la collecte discrète : l’avenir passe par la transparence, le consentement et le dialogue.

Zero party data, quand le client choisit ce qu’il partage

Par opposition aux données first party (issues du comportement), la zero party data est celle que le client fournit de son plein gré. Il ne s’agit plus de déduire ses attentes, mais de lui donner la parole.

Cela peut passer par :

          • Des questionnaires relationnels réguliers (attentes, irritants, leviers de fidélité)
          • Des baromètres ou enquêtes de satisfaction sur des thématiques ciblées
          • Des enquêtes connaissance client pour cerner ses besoins (dans une logique d’accompagnement)
          • Des entretiens qualitatifs, pour aller au-delà des chiffres et enrichir ses données.

Cette approche permet de collecter une donnée riche, intentionnelle et contextualisée. Et surtout, elle installe une relation équilibrée, respectueuse et personnalisée.

Quelques
définitions

First party data

L’ensemble des informations collectées par une entreprise auprès de ses clients ou prospects, via ses propres canaux de communication.

Second party data

Émanent de partenariat entre 2 entreprises pour le partage de données clients afin d’enrichir les deux entités.

Third party data

Proviennent de sources externes indépendantes de l’entreprise. Données achetées à des fournisseurs tiers.

Zero party data

Informations que les clients partagent volontairement avec les entreprises, non collectées passivement par l’entreprise.

Par opposition aux données first party (issues du comportement), la zero party data est celle que le client fournit de son plein gré. Il ne s’agit plus de déduire ses attentes, mais de lui donner la parole.

Cela peut passer par :

          • Des questionnaires relationnels réguliers (attentes, irritants, leviers de fidélité)
          • Des baromètres ou enquêtes de satisfaction sur des thématiques ciblées
          • Des enquêtes connaissance client pour cerner ses besoins (dans une logique d’accompagnement)
          • Des entretiens qualitatifs, pour aller au-delà des chiffres et enrichir ses données.

Cette approche permet de collecter une donnée riche, intentionnelle et contextualisée. Et surtout, elle installe une relation équilibrée, respectueuse et personnalisée.

Quelques
définitions

First party data

L’ensemble des informations collectées par une entreprise auprès de ses clients ou prospects, via ses propres canaux de communication.

Second party data

Émanent de partenariat entre 2 entreprises pour le partage de données clients afin d’enrichir les deux entités.

Third party data

Proviennent de sources externes indépendantes de l’entreprise. Données achetées à des fournisseurs tiers.

Zero party data

Informations que les clients partagent volontairement avec les entreprises, non collectées passivement par l’entreprise.

Pourquoi c'est un atout marketing ?

Les marques qui adoptent cette approche voient émerger de véritables gains business :

  • Une personnalisation authentique (et non supposée), qui augmente l’engagement.
  • Une confiance renforcée : 90 % des consommateurs se déclarent plus fidèles à une marque perçue comme transparente (Salesforce, 2023).
  • Des insights activables, qui nourrissent les décisions produits, les parcours clients, et les stratégies de fidélisation.
  • Une conformité RGPD native, puisque tout repose sur le volontariat.

Exploiter les données responsables ne veut pas dire en faire moins.
C’est faire mieux. Mieux écouter, mieux comprendre, mieux personnaliser.

Et si demain, la marque la plus performante était simplement celle qui avait su poser les bonnes questions, au bon moment, de la bonne manière ?

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Dans un contexte où la méfiance est croissante, la manière dont les entreprises collectent et utilisent les données clients devient un marqueur fort de leur positionnement éthique. Et si, plutôt que de traquer les comportements, on demandait tout simplement au client ce qu’il pense, ce qu’il ressent, ce qu’il attend ? C’est toute la promesse de la zero-party data.

La donnée propriétaire à l’ère de la méfiance

Les scandales autour de la vie privée ont profondément transformé le rapport des individus à leurs données. Selon une étude Cisco (2024), 84 % des consommateurs déclarent se soucier de la protection de leurs informations personnelles, et près d’un tiers (32 %) ont déjà quitté une marque en raison d’un usage jugé abusif de leurs données.

Face à ces chiffres, les marques revoient leurs pratiques. Fini les cookies tiers et la collecte discrète : l’avenir passe par la transparence, le consentement et le dialogue.

Zero party data, quand le client choisit ce qu’il partage

Par opposition aux données first party (issues du comportement), la zero party data est celle que le client fournit de son plein gré. Il ne s’agit plus de déduire ses attentes, mais de lui donner la parole.

Cela peut passer par :

          • Des questionnaires relationnels réguliers (attentes, irritants, leviers de fidélité)
          • Des baromètres ou enquêtes de satisfaction sur des thématiques ciblées
          • Des enquêtes connaissance client pour cerner ses besoins (dans une logique d’accompagnement)
          • Des entretiens qualitatifs, pour aller au-delà des chiffres et enrichir ses données.

Cette approche permet de collecter une donnée riche, intentionnelle et contextualisée. Et surtout, elle installe une relation équilibrée, respectueuse et personnalisée.

Quelques
définitions

First party data

L’ensemble des informations collectées par une entreprise auprès de ses clients ou prospects, via ses propres canaux de communication.

Second party data

Émanent de partenariat entre 2 entreprises pour le partage de données clients afin d’enrichir les deux entités.

Third party data

Proviennent de sources externes indépendantes de l’entreprise. Données achetées à des fournisseurs tiers.

Zero party data

Informations que les clients partagent volontairement avec les entreprises, non collectées passivement par l’entreprise.

Par opposition aux données first party (issues du comportement), la zero party data est celle que le client fournit de son plein gré. Il ne s’agit plus de déduire ses attentes, mais de lui donner la parole.

Cela peut passer par :

          • Des questionnaires relationnels réguliers (attentes, irritants, leviers de fidélité)
          • Des baromètres ou enquêtes de satisfaction sur des thématiques ciblées
          • Des enquêtes connaissance client pour cerner ses besoins (dans une logique d’accompagnement)
          • Des entretiens qualitatifs, pour aller au-delà des chiffres et enrichir ses données.

Cette approche permet de collecter une donnée riche, intentionnelle et contextualisée. Et surtout, elle installe une relation équilibrée, respectueuse et personnalisée.

Quelques
définitions

First party data

L’ensemble des informations collectées par une entreprise auprès de ses clients ou prospects, via ses propres canaux de communication.

Second party data

Émanent de partenariat entre 2 entreprises pour le partage de données clients afin d’enrichir les deux entités.

Third party data

Proviennent de sources externes indépendantes de l’entreprise. Données achetées à des fournisseurs tiers.

Zero party data

Informations que les clients partagent volontairement avec les entreprises, non collectées passivement par l’entreprise.

Pourquoi c'est un atout marketing ?

Les marques qui adoptent cette approche voient émerger de véritables gains business :

  • Une personnalisation authentique (et non supposée), qui augmente l’engagement.
  • Une confiance renforcée : 90 % des consommateurs se déclarent plus fidèles à une marque perçue comme transparente (Salesforce, 2023).
  • Des insights activables, qui nourrissent les décisions produits, les parcours clients, et les stratégies de fidélisation.
  • Une conformité RGPD native, puisque tout repose sur le volontariat.

Exploiter les données responsables ne veut pas dire en faire moins.
C’est faire mieux. Mieux écouter, mieux comprendre, mieux personnaliser.

Et si demain, la marque la plus performante était simplement celle qui avait su poser les bonnes questions, au bon moment, de la bonne manière ?

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